Bridge et Humour : L’AS

Voici une chronique qui sort de l’ordinaire ! Remplie de références à saisir, cette chronique mélange savamment Bridge et humour !

La précédente et première chronique vous informait sur les noms donnés aux honneurs. Souvenez-vous, Pallas, Judith, David, Argine, etc… Ça vous parle ?

Nous abordons « sept » fois la signification des petites cartes et intermédiaires. A commencer par…

Je vous le donne en Mille, le UN : l’AS !

L’assassin, l’unique, le leader, le salace et surtout l’indivisible… Mais paradoxalement, vous pourrez couper un As avec un simple DEUX, son double.

On se demandera d’ailleurs pourquoi, les Huns étaient si nombreux ?

Et comme disait Pierre Albarran (France 1893-1960), il n’y a que l’as d’atout que vous ne perdrez jamais.

Mais en jouant finement, vous pourriez obliger votre adversaire à couper avec cet As d’atout.

J’associe à l’As ce fameux carré historique : Les As de Dallas, champions du monde en 1970 sous la houlette de Jim Jacoby, le fils d’Oswald (Jacoby Transfert / Texas).

A n’en pas douter, ils auraient certainement formé une paire redoutable ; ce qui nous amène au DEUX : la plus petite carte (dans l’ordre croissant du petit déjeuner…), mais très prometteuse, ou singleton, c’est selon la parité…

C’est en tout cas le chiffre que vous « alliez » revendiquer et en toute logique, il faut être 2 au moins pour « s’allier ».

Pour former une bonne paire soudée et surtout reproductive à la table. On pourrait donc bien penser que les paires mixtes sont avantagées, mieux fittées et donc génésiques…

Le 2 est le symbole même de l’ubiquité, l’association, le duo, le bi, le double, la dualité, le doubleton…

Ça fait beaucoup pour un bête deux… Et à bientôt pour le deuxième épisode qui nous amènera vers le 3 ! C’est un comble…

Chronique humoristique par David Ducoront

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